martes, 27 de mayo de 2014

En internacionalización, la tecnología rompe las barreras físicas, pero no las culturales

La tecnología rompe las barreras físicas, pero no las culturales; afirma José B. Pinto, profesor del campus madrileño de la Schiller International University en una importante asignatura: "Competencia multicultural para hacer negocios". Y Globalider lo corrobora y reafirma. Los usos y costumbres del mercado de destino constituyen factores determinantes para el éxito comercial de un producto o servicio y deben ser absolutamente tenidos en cuenta desde la fase de fabricación o concepción. Ya entendimos la competencia global como clave del crecimiento económico. Ahora subrayamos: solo se puede ser globalmente competente sobre la premisa de ser competente multiculturalmente que no es ni más ni menos que ser coherente con la demanda de cada cliente de no importa qué lugar del mundo.

En el análisis de producto o servicio durante el proceso de internacionalización, en un ejercicio de autodiagnóstico, debemos realizarnos algunas cuestiones importantes: ¿Es mi producto o servicio Global?. Es decir, ¿se trata de un producto o servicio conocido conceptualmente por todo el mundo?, como la cebolla, la patata, la mermelada, la mayonesa, los refrescos de cola, el vino, el mobiliario de cocina, el asesoramiento contable, la arquitectura, la hostelería, etc, etc... La naturaleza del producto o servicio Global no debe estar supeditada a campañas de comunicación para ser entendida su utilidad por parte del cliente Global, ya sea de Guadalajara, de San Francisco o de Pernambuco...

¿Funciona mi producto a nivel Local?. Los mercados actuales de consumo del producto constituyen el ámbito Local, donde el producto se desarrolla comercialmente en base a múltiples factores: calidad, formato, packaging, precio, publicidad, etc, etc... ¿Puedo Localizar mi producto en otros lugares del mundo?.

Dependerá esencialmente del análisis de los mismos factores que influyeron en el éxito del producto en su ámbito local, aplicándolos a los usos y costumbres del nuevo mercado de destino. El hábito hace al monje. En un proceso de internacionalización hay que preparar los "hábitos" del productor; orientarlo hacia la mejor mimetización, adaptación al mercado objetivo de exportación.

En Globalider, cuando detectamos productos Globales con una adecuada implantación Local; vamos directamente a la "GloCalización" del producto, que significa conquistar y cuidar un adecuado canal de distribución, con todos los requerimientos demandados por el nuevo mercado Local. Es acertado decir una vez más que hay que pensar globalmente y actuar localmente.

Pero hoy día se está dando un fenómeno curioso, en prácticamente todo el mundo: querer ser internacional se ha convertido en prioridad empresarial. Ahora más que nunca, incluso desde que una organización nace, se quiere hacer de ella internacional. En un adecuado proceso de internacionalización, cualquier producto o servicio es susceptible de tener su momento y su oportunidad en el mundo. Cualquiera lógicamente que tenga un verdadero ámbito Local de desarrollo, en las condiciones analizadas.

Pero no solo los productos o los servicios, sino que las patentes industriales, los conceptos de negocio originales, la tecnología, el saber hacer en general; son susceptibles de internacionalización. Por eso es importante saber cuándo, dónde, cómo, por qué pueden adquirir mi producto o servicio. Si me quedo en el cuándo o el dónde; nunca comprenderé y seguro, seguro, que jamás llegaré a GlocaLizarme. Pienso Global, actúo Localmente. Es razonable, de sentido común, o sea de sentido Global.

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Francisco Casáus
CEO Globalider


viernes, 23 de mayo de 2014

Les APE (Accords de Partenariats Economiques) : une véritable opportunité pour les entreprises espagnoles.

Les APE sont des accords commerciaux visant à développer le libre-échange entre l’UE (union européenne) et les pays ACP (Afrique, Caraïbe, Pacifique).La négociation est toujours en cours pour certains pays mais d’autres à l’instar du Cameroun ont signés les accords intérimaires et reste juste a les ratifier pour qu’ils puissent être mis en application.

La signature des APE par le Cameroun est une véritable opportunité pour les entreprises espagnoles qui souhaitent vendre au-delà de leur frontière. Elles auront la, la possibilité d’exporté vers ce pays a large possibilité de nombreuses marchandises sans barrière tarifaire.

Les caractéristiques de l’APE intérimaire concernent un régime commercial particulier pour certaine marchandises. Les dispositions sur le commerce des marchandises couvrent :

-Un accès libre en franchise de droit de douane du marché Camerounais pour les produits de l’UE.
-Un accès préférentiel du Cameroun pour les produits provenant de l’UE

Le Cameroun est un pays qui compte environ 22 millions d’habitants aux habitudes de consommation tellement variées ceci du fait de sa diversité culturelles. C’est un pays qui est la porte d’entrée également de beaucoup d’autres comme le Tchad, la RCA, la Guinée Equatoriale, le Gabon, le Congo…

Pénétré le marché Camerounais c’est pénétré toute la région Afrique centrale donc environ 50 millions d’habitants.

La ratification prochaine des APE par le gouvernement du Cameroun libéralisera de manière progressive son vaste marché local certes mais aussi sous régional et même régional. Le calendrier de démantèlement tarifaire est organisé sur la base de trois catégories de produits.

-Les produits appartenant à la 1ere catégories seront totalement libéralisés après 5 ans à partir de la ratification. Il s’agit notamment des machines industrielles et de hautes technologies, des produits de première nécessités comme les médicaments, les appareils médicaux et les produits chimiques de base.

-Les produits de la 2nde catégorie seront totalement libéralisés après les 9 ans à partir de la ratification. Il s’agira notamment des véhicules de transport, des remorques, des tracteurs…

-D’autres produits seront totalement libéralisés dès les 15 années après la ratification. Il s’agira des véhicules à usage privé, des produits alimentaires et des produits de consommation diverses en nature.

Conquérir le marché Camerounais c’est en même temps conquérir tout le marché régional Afrique central.

La renommée des produits espagnole au Cameroun n’est plus à démontrer. Ils sont de bonne qualité et a bas prix. Les consommateurs n’en doutent pas.

La stabilité économique mais surtout politique dont jouit le Cameroun comparée à celle des autres pays de la sous-région lui donne de pouvoir être une véritable base d’implantation pour les entreprises espagnoles qui voudraient conquérir le golfe de guinée et l’Afrique en général.

De nouvelles lois viennent d’être votées par le parlement et promulguées par le président de la république visant à faciliter et à accompagner les investisseurs lors de leur implantation au Cameroun. Il s’agit des lois incitatives à l’investissement qui sont une véritable opportunité à saisir.

Le Cameroun est un très grand marché ouvert tant en local (22 millions d’habitants) qu’en sous régional (environ 50 millions d’habitants) et même en régional dans tout le golfe de guinée avec environ 200 millions d’habitants.

Les entreprises espagnoles y sont donc les bienvenues

Michel Abessolo Abessolo
Représentant Globalider/Cameroun

martes, 20 de mayo de 2014

La force des économies émergentes et L’UE.

Le poids des marchés émergents !!Il est frappant de constater que les économies de marché émergentes et les économies en développement (les « économies émergentes ») jouent un rôle de plus en plus important, tant en termes démographiques qu’économiques. Cette évolution se manifeste également à la fois sur le plan macroéconomique et au niveau microéconomique.

En ce qui concerne les données macroéconomiques Outre leur poids démographique élevé, ces pays deviennent des acteurs économiques de plus en plus importants. La part des économies émergentes dans la production mondiale, mesurée aux taux de change du marché, est passée de moins de 20 % au début des années 1990 à plus de 30 % à l’heure actuelle. Si on se base sur la notion de parité du pouvoir d’achat – c’est-à-dire en tenant compte des écarts en matière de coût de la vie –, le poids relatif des économies émergentes dans le PIB mondial est déjà supérieur à 45 %.. Selon les Perspectives de l’économie mondiale du FMI, cette part dépassera 50 % en 2014.

Quant aux données microéconomiques, alors que le poids macroéconomique des économies émergentes augmente rapidement, leur rôle s’accroît également sur le plan microéconomique. On peut constater que sept des vingt-cinq plus grandes entreprises mondiales, en valeur de marché, ont leur siège dans un des pays considérés comme économies émergentes.

Selon certaines études, l’Afrique, le Brésil, la Russie, l’Inde et la Chine, considérés globalement, pourraient représenter plus de la moitié du poids des six plus grandes économies industrialisées actuelles d’ici à 2025, c’est bien pour ça, que Globalider est déjà présent en Afrique, en Chine et en Inde.

De son côté, l’union européenne, qui allait être considère comme la première puissance mondiale a commencé à chuter en 2009, et cette chute est inquiétante. Une politique agricole adaptée aux entreprises avec la libre circulation des marchandises, mais…. au fil des années les marchés Européens ont stagnés. Et ce sont les économies émergentes, qui génèrent une demande en hausse et c’est l’offre des entreprises comme celles de nos clientes qui ont compris que l’internationalisation et les exportations sont la clé du succès et qui aide á l’augmentation du poids de ces marchés. 

Il faut profiter des opportunités et du savoir-faire d’entreprise spécialisée en Internationalisation. Globalider dispose à ce jour de plus de 35 délégations dans 4 contiennent, depuis l’Afrique, la Chine, l’Inde, la zone d’Amérique Latine.. être présent est aussi la clé de la réussite !

Virginie Parra
Export Manager.
Globalider

jueves, 8 de mayo de 2014

¿Qué canal de distribución utilizar? El canal directo

Para comprender la importancia de los canales de distribución, la historia siempre nos ayuda. Todo comienza hace siglos con movimientos de mercancías, físicas. De hecho, por esto fundan Cádiz los fenicios hace más de 3.000 años, para negociar con mercancías físicas (aceites, vino, grano, pescados,..) utilizando un canal físico de distribución, donde se empleaban personas, barcos y fundan ciudades.
Juan y Alejandra, Gerentes Territoriales Murcia 1

Damos un salto en el tiempo, y llegamos a después de la Segunda Guerra Mundial, donde ya vemos comercio internacional de producto no físico, virtual, como seguros, acciones, derechos, e incluso más tarde, software, pero estos productos virtuales se comercializaban a través de un canal físico, utilizando personas, medios de transporte, oficinas, etc..

A mediados de los 90, con el crecimiento de internet, es cuando aparecen los canales virtuales. Y se comienza principalmente para la venta de productos físicos. Pensemos en las empresas de comercio electrónico, como Amazon. Venden de todo, desde todos los lados. Pocos años después, a comienzos del nuevo siglo, es cuando comienza la utilización del canal virtual para productos virtuales, emergiendo con fuerza empresas como Google,Twitter, Facebook, Linkedin..

Al seleccionar el canal de distribución/exportación por el que comenzar la aventura internacional se debería tener en cuenta que no solo es importante mover bien los bienes físicos, sino que este movimiento debe ser acompañado de un doble flujo de información, hacia el cliente, y hacia ti, como información feedback. Así, a través del canal es como la empresa se va a comunicar con los clientes, y va a llegar hasta ellos para entregar su propuesta de valor. Dando a conocer el producto/servicio, aumentando el interés por los productos/servicios, ayudando a los clientes a evaluar tu propuesta de valor: empatizando, facilitando la compra, entregando tu propuesta de valor para su ventaja, su beneficio y finalmente facilitando un servicio post-venta.

En la actualidad, el objetivo básico de cualquier empresa sigue siendo el mismo que antaño, colocar sus productos y servicios en el mercado final, en este caso extranjero, en condiciones adecuadas para satisfacer las necesidades y requerimientos de sus consumidores, foráneos. Para alcanzar estos importantes propósitos, se puede decidir afrontarlo con propios medios, llegando por uno mismo a todos los espacios geográficos y temporales, con las cantidades y formatos adecuados. Esto sería un canal directo. Pero si careces de ellos, o te supone un coste elevado, puedes buscar crear relaciones con otras empresas, para desarrollar todas las actividades necesarias para las funciones de distribución que te sirvan como puente para alcanzar su mercado final, formando un canal de exportación. Un canal Indirecto.

Juan de la Cruz García
Gerente Territorial Murcia 1
Globalider

lunes, 5 de mayo de 2014

10 sectores en los que México arrasa en el mundo

En los últimos años, pareciera que México lo único que exporta son malas noticias, donde el miedo es el principal producto, y que las únicas cifras que se manejan son las víctimas del crimen. Es justo en este momento donde te proponemos un nuevo panorama en la visión, pues el país es mucho más que eso. A diario México produce y exporta miles de productos al mundo gracias a la mano de obra calificada y el trabajo de los mexicanos. Las cifras de exportación e ingresos generados por la labor de la gente de este país, que incluso colocan a la industria mexicana en los primeros lugares a nivel mundial en distintos ramos.

A continuación, 10 sectores en los que México "arrasa'"en el mundo.

1. Primero la TV a color, luego la plana: México ocupó el primer lugar a nivel mundial en valor de las exportaciones de pantalla plana, ubicándose por encima de países como China, Alemania y Estados Unidos. México, el país donde nació el inventor de la TV a color, es hoy una de las naciones líder en exportación de televisores de pantalla plana. Comenzó la década con un monto acumulado de ventas al exterior de estos productos de 17,430 millones de dólares, aumentando un hasta un 10 % año por año.

La exportación mexicana de estos equipos representó el 24.4% del total de las exportaciones del sector Electrónica. Algunas empresas con plantas en el país son: Panasonic, Sharp y LG.

2. Café con aroma mexicano: México es el primer productor de café orgánico en el mundo. En una década, la superficie destinada a la producción de orgánicos pasó de 50,000 a 400,000 hectáreas, y las ventas de dichos productos generan más de 400 millones de dólares al año.

El café orgánico representa el 50% de los productos orgánicos en el país, por lo que es el principal alimento orgánico a nivel nacional. La producción de este tipo de café consiste en "controlar todas las plagas y enfermedades a través de mecanismos naturales: un control biológico; y utilizar fertilizantes naturales u orgánicos que no tienen ningún producto químico. Es un café de nicho, no se produce en grandes cantidades, y estamos siendo competitivos a nivel internacional. También, por las características del café mexicano", detalla Sergio Garcilazo, coordinador del área de Investigación de Ciencias Económicas y Empresariales de la Universidad Panamericana.

3. ¿Bueno? ¿Quién habla?: Que no te sorprenda saber que quizá el smartphone que utilizas haya sido fabricado en México. La razón es que el país pasó en los últimos años de ser un fabricante de teléfonos 
celulares sencillos, a equipos de nueva generación, como las BlackBerry. "Hace un tiempo se hablaba de que habíamos perdido la producción de celulares en México, de que se habían ido a otros países con mano de obra más barata. Pero eran los de tecnología tradicional", dice el especialista Sergio Garcilazo.

Y añade que "México se ha posicionado como un gran exportador de manufactura de celulares de nueva generación": En 2010, el país se colocó como el tercer exportador global de celulares con 9,860 millones 
de dólares, sólo debajo de China y Corea del Sur. Actualmente en Tijuana, Baja California, Ciudad Juárez, Chihuahua, Guadalajara y Jalisco se manufactura la producción del sector.

4. El sueño plateado: México es el principal productor y exportador de plata a nivel mundial. El país obtiene más de 150 millones de dólares por la venta al exterior de joyería de plata. En julio de 2011, México produjo 344,342 toneladas de plata, 8.9% más que en el mismo mes de 2010. La producción del metal en México se elevó de 2,500 a 4,400 toneladas entre 2003 y 2010. En nuestra actual década continúa la tendencia. El país también es el noveno mayor exportador de oro semilabrado en el mundo: "México se ha convertido en el primer destino de inversión minera en toda América Latina, y el cuarto en el mundo en inversión en exploración", anunciaba un presidente mexicano hace pocos años. Productores de plata en México: Silver Shield, Fresnillo, Frisco y Peñoles.

5. Energía muy limpia: México ocupa el segundo lugar en Latinoamérica en capacidad de generación de energía eólica, con una base de 521 MW, sólo superada por la base de 920 MW de Brasil. La Secretaría de Energía espera que cerca del 10 % de la generación de electricidad venga de fuentes alternas. El potencial del país en esta industria representa una gran oportunidad para la inversión y el desarrollo, y México la estimula. Por ejemplo, ofrece a las empresas extranjeras y nacionales la deducción de 100% del gasto en maquinaria para este tipo de proyectos. Compañías de esta fuente renovable en México: Cannon Power y Schneider Electric . Además, empresas como Bimbo, Gamesa Energía, Peñoles, FEMSA, entre otras, en colaboración con el Gobierno mexicano, construyeron proyectos para esta fuente de energía.

6. Al infinito y más allá: México es el principal receptor de proyectos de inversión en manufactura aeroespacial en el mundo, y es el sexto país en recepción de proyectos de investigación y desarrollo en el sector. El número de empresas aeroespaciales en la nación se triplicó en los últimos años. Han convivido más 200 firmas de este sector, que en su mayoría provienen de Estados Unidos, Canadá y Francia.

En 2010, las exportaciones en esta industria eran por 6,507 millones de pesos. "A últimas fechas se han venido muchas compañías que estaban establecidas en Estados Unidos y se han establecido en México porque han encontrado una mano de obra calificada y con escasa rotación, que es lo más importante, ya que lo que inviertes en capacitar en las gentes te reditúa en el mediano y largo plazo", dice el experto Sergio Garcilazo.

7. País en frecuencia del crecimiento: Los aparatos de radio frecuencia producidos en México ocupan el cuarto lugar de las exportaciones de México al mundo. El país es el cuarto exportador a nivel mundial para los tres sectores de la comunicación. En el primer semestre de 2011, el país vendió 3.47 billones de dólares en este sector. De 2007 a 2010, las ventas de aparatos emisores crecieron un 200%. En 2001, el país exportaba 50 millones de dólares, y en 2011 la cifra llegaba a los 4,000 mdd en telecomunicaciones y tecnologías de la información. El ritmo es creciente.

8. Tradición motorizada: México es el noveno productor de automóviles y sexto exportador en el mundo. La industria de autos aporta un 3% del Producto Interno Bruto (PIB) nacional. En 2010, la producción de vehículos creció 50% anual, con un récord histórico de más de 2 millones 260,000 unidades. Las exportaciones crecieron más de 50%, para superar los 64,600 millones de pesos. En los últimos cinco años se han anunciado inversiones en el país por más de 10,000 millones de dólares.

9. No sólo autos, sino sus partes: México es el proveedor más importante de autopartes al mercado norteamericano. "El sector autopartes está ligado al automotriz, porque muchos de ellos son proveedores de la industria terminal, o sea de las plantas armadoras. La gran cantidad de autopartes que se producen en México no sólo son para las plantas de México, sino para las de Estados Unidos, Japón y Europa", explica el analista Sergio Garcilazo.

10. Un sector saludable: México es el sexto exportador mundial de instrumentos de medicina, cirugía y odontología, y el octavo en aparatos de terapia; además, el décimo de aparatos respiratorios; el décimo segundo en artículos de ortopedia y el décimo séptimo en aparatos de rayos X y radiación. La nación es el segundo mercado más grande en Latinoamérica de dispositivos médicos, con un valor de 2.3 mil millones de dólares. Las exportaciones de México en el sector ascienden a 4,800 mdd anuales. Estados Unidos concentra 92% de las exportaciones totales de dispositivos médicos de México. "Los aparatos se generan en México y se producen con muy buena calidad", afirma Sergio Garcilazo, académico de la Universidad 
Panamericana.


Jaime González 
Project Manager 
Globalider